<<< Les feuilles mortes >>>

Photos prise sur le net. La pierre qui croule
j'ai mis ces trois photos suite à une course de vélos en automne.
Qui c'est déroulé au temps ou j'étais commissaire de sécurité
en 1995.
Uchon se situe à 27 km de Luzy (58) donc de chez moi, dans le Morvan

Photo prise sur le net. table d' orientation
très belle vue sur tout le Morvan.

Photo prise sur le net. même endroit
Chaos granitique

photo prise sur le net. très belle vue sur le Morvan.
Uchon (71) se situe à 27 km de Luzy (58)

photo prise par mes soins. Feuille mortes

Photo prise mes soins.

Les feuilles mortes

« Petite phase humoristique »

Les feuille mortes se ramassent à la pelles
Et les pelles se ramassent en vélos.

Souvenir d’une course de vélos.
A la Chapelle sous Uchon ( Autun 71 ) Morvan 1995
Avec mon groupe de commissaires de sécurité.



Feuilles mortes

feuilles tombé devant ma porte.
Forme coloré d’ une toile morte.
L’été fatigué s’ en est allé .
Tapis couleurs vermeil, j’ai gravé.

Grande surface, tapis doré.
Sur le feuillage j’ai marché,
Regardant Briller dans le ciel,
Les derniers rayons de soleil.

Promenade le long des berges de la Loire,
Je vois la lune refléter comme un miroir.
Le visage d’ une jeune fille blonde,
Emmitouflé dans un manteau noir .

Que de temps passé, pourtant !
Je me souviens de tous ces instants.
Tombe, inlassablement, ces milles étoiles.
Pluie de feuilles, virevoltantes jusqu’au soir.

Des ses mains, âme égaré,
Attendant le printemps.
La sève monte dans sa chaire,
Dans l’espoir d’atteindre La lumière.

Aux portes de l’hivers.
Laisser au dehors, les froides ténèbres.
Pourrissent sur le sol,
Les feuilles de l’automne.

Comme un long sanglot,
D’un amour blessé.
Mon cœur deviens monotone
En attendant le prochain été .

Texte: GITAN ( Tilliet José )
Le 29.09.2009.

<<< Sulpture. Porte mobiles >>>

Porte : Téléphone Mobile, Stylo, Bloc-notes
sculpté: le 23.09.2009
bois : Sapin et bois d'eau.

<<< Visage de couleurs >>>

Peinture acrylique
Support: carton d'emballage
dimension: 23 cm x 18 cm

Visage de couleurs

Dans mon monde imaginaire.
Voyage au cœur de l’espace.
Monde inconnue extraordinaire.
Je ne comprend pas ce qui ce passe.

Rencontre entre l’irréel et le réel.
Visage sortie tout droit du néant.
Pourquoi se prends t’ il la tête,
Entre ses deux mains effilées.

Ses yeux noyé dans un nuage,
de couleurs et de mystères.
Je me demande si au fond de moi,
Si dans ma tête c’est le désert.

Méandre de mes pensées !
Je vois, roi, mage, sans âge,
Oh mage ! à son âme.
que-vois-Je dans ce regard ?

Ces yeux qui m’observes.
Mon esprits s’embrase !
De milles pensées embarrassés.
Exploration de cette œuvre pictural.

Je me retrouve face à mon image.
Bloqué par le mur de la nuit,
Un soir d’orage. Je n’en mène pas large.
Non ! Je ne cherche pas à fuir.

Je cherche, je cherche ! la vérité.
Mais que veux dire ce message ?
Vision éclatante d’un visible séquençage
Si vous le savez, aidé moi à trouver.
Une réponse dans ce regard.

Auteur: Gitan ( José Tilliet )
Le 22 septembre 2009.

<<< Etrange ressemblance >>>

Toile peint par Jawah


Photo prise avec mon téléphone.

Ressemblance troublante d’une toile peint par Jawah
Et une photo que j’ai prise avec mon téléphone.
Sur une plage de la Loire.

Quand dites vous ??????????

<<< Photos Abstraites ou le monde d'illusions >>>

Ph 01 - Poule d'eau


Ph 02 - Reflet d'eau. Tempête
Photo prise avec mon téléphone sur le fleuve de la Loire


Ph - 03 - Varan


Ph - 04 Hyène


Ph 05 - mort du rat.


Ph 06 - Samouraï.


Ph 07 - Hérisson.


Ph 08 - Forêt aux diables.


Ph 09 - Dinosaure.


Ph 10 - Pluie d'étoiles.

texte:
Un monde d’ Illusions

Graver à jamais dans le temps.
Délire de mon imagination.
Sculpté par l’eau et le vent.
Autre dimension abscons.

Je vous laisse imaginer maintenant.
Comme d’ une évidente poésie
L’art de voir le mystère intriguant,
Composé par une nature sublime,
Aussi qu’ inattendue que vivante.

Dans l’au-delà d’une autre vie.
De la réalité à l’illusion.
De voir dans l’invisible le visible,
Comme le souffle du vent emportant,
Ces mots, poétique, fantastiquement étrange.

Dans le confins des méandres de mes pensées.
Évasion culturel, sur les sentiers d’antan,
Par mon esprits, me laisser bercer.
Dans cette illusion optique surprenante;
Comme un chamane assis, sur la roche aux fées.
Morceaux chimériques rongé par le temps.

Allez, aller brave gens, je vous attends !
Suivez mes pas, dans ce monde virtuel.
Remplie de formes impressionnantes.
Poser votre regard sur ces anges céleste,
Remplie de vies intérieurs d’où j’entends,
Dans ce monde silencieux,
Le chuchotement des farfadets.

Auteur des photo et du texte.
GITAN ( José Tilliet )
le 20 septembre 2009

<<< Dauphins >>>

Porte aiguilles (couturière) en sapin teinté acajou
vue droite

Porte aiguilles:: Vue gauche.


Porte aiguilles:: Ouvert.


dauphin rond de serviette et porte briquet de poche
en sapin teinté acajou et vernis.


Dauphin porte stylos et porte briquet en sapin naturel
toutes mes sculptures sont réalisés au couteau
j'ai réalisé ces sculptures
pour ma fille entre l'année 2001 et 2002

<<< Bol d'or >>>

Voici une photo prise par ma fille au bol d'or 2009
le 13 septembre 2009,
à Magny-cours dans la Nièvre. ( 58 )
Circuit, à 20 km environ de Nevers.
Merci Amandine pour cette supère photo.
Cliché pris sur le vif
pour nous remettre en mémoire les anciennes Motos et prototypes d'un passé
ou l'ambiance, de la plus prestigieuse
course du monde de motos, reste au goût du jour.
Une compétition d'endurance non stop
dans une atmosphère féerique incroyable.
un rendez-vous unique de tous les motards
qui perdure depuis 73 ans.
pour plus de renseignement aller
sur la page web et taper: bol d'or.
vous trouverez des photos
et des réponses à vos questions.

<<< Ma prison psychologique >>>

Peinture acrylique
Support : carton d'emballage
Dimension: 20 cm x 18 cm

Texte du recueil.
Méandre de mes pensées.

Méandre de ma folie.

J’ai toujours ressentie
À l’égard de ces êtres dépassés
Rencontres de ces moments précis
Sans l’hombre d’un toute, de l’hostilité.

Indéfinissables pensées débordées
Chemin parsemés d’embûches
Questions que l’on pose à un condamné
D’un pauvre con que l’on tue.

Je n’ai jamais trouvé ma place
Dans cet univers, trop compliqué
Ou la , haine, la bêtise, la violence , fait place
parmi ces gens qui Prône, la paix et la liberté.
Aussi l’amour de son prochain, l ‘amitié ?
Ah. Ah ! ils me font bien rire avec leurs préjugés
Hypothétique fourberie, incompréhensions, de contradiction
J’aime mieux m’éloigner, comme un berger
Loin de la ville et de la pollution
De ces menteurs par la drogue fumé

Je prendrais pas des gants, c’est sur !
Même si je sais que mes paroles, ne valent pas un sous
J’ai simplement voulue écrire ces mots dur
Sur un océan en furie, sur du papier mous

Se sentir trahie par la chair de sa chair
Dans ces sentiments contradictoires
Même si mon regard se porte sur ce ciel clair
De reprendre un jour, le chemin de l’espoir
Trouver la voie céleste dans l’univers
De comprendre un jour cette histoire

Auteur gitan ( Tilliet José )
15 août 2009