Bercé par les vagues
Au file du vent
J’ai largué les amarres
Pour partir au hasard
Loin des brutes bestial
Fuir cette terre inhospitalière
Peuplée d’une faune hostile
Ou des fauves aux esprits tortueux
Me force à prendre la mer, et le large
En me battant contre les vagues
Chercher une autre lieu en suivant le soleil
Je ne jouerais pas à cache, cache, avec les étoiles
Sur la mer sans fin, je fuis cette terre
avant que le monde chavire
Dans l’apocalypse de leurs mots !
Dons la bêtise de l’homme
Qui fait son tord sois même
Avec sa fourberie qui se forme
Comme un animal qui ne fonctionnerais
Que par ces réflexes !
Alors ! avant ma mort
Je prends le large
Je vous laisse a votre
Bêtise humaine, qu’est la votre !
Et vos mots remplie d’une haine féroce
Vous allez trouver mon poème pas très cohérent
Mais moi je m’en contente
Car je sais que des gens vont me comprendre
Et ces êtres imbues de leurs personnes
Vont ce reconnaître, dans mes mots, et dans ce texte !
Alors bon vent ! Et à jamais !
Texte écrit par le voyageur des arts ( Tilliet José )
Le 26.11.2010
Il est bien entendu que ce texte est une pure invention de mon imagination,
Mais il est destiné a une certaine catégories de malotrues qui me côtoient,
Dans mon entourage quotidien et quand aucun cas mes amies et amis blogueurs sont impliqué !
Eh oui ! J’ai des mauvaises langues que je côtoies bien souvent. ils jouent avec des paroles remplis de méchancetés et de trahison ! Heureusement que ce sont pas mes amies et amis !